EDWIGE
ZIARKOWSKI
P'ART CI P'ART LÀ
La vie en dessous du 48ème parallèle
Tout va bien, baiser, salut, 2013, reprographie crayon de papier, pierre noire et fusain sur papier de récupération, dimensions variables | |
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La vie et rien d'autre avec un soleil et la nuit, 2013, reprographie crayon de papier, pierre noire, fusain et lettres imprimées sur papier de récupération, dimensions variables | A Éliane, 2013, reprographie lettres imprimées sur papier de récupération, dimensions variables |
Foi, 2013, reprographie mine de plomb sur papier de récupération, dimensions variables | Il neige, 2013, reprographie fusain et feutre noir sur papier de récupération, dimensions variables |
Il neige, 2013, reprographie fusain et feutre noir sur papier de récupération, dimensions variables | Il neige, 2013, reprographie fusain et feutre noir sur papier de récupération, dimensions variables |
Naéco, 2013, reprographie crayon de papier et lettres imprimées sur papier de récupération, dimensions variables | Parce que je pensais à vous, 2013, reprographie écriture au feutre sur papier de récupération, dimensions variables |
Nathalie, 2013, reprographie crayon de papier et feutre sur papier de récupération, dimensions variables | |
Je ne penserai jamais à mon père, ni à ma mère, 2013, reprographie lettres imprimées sur papier de récupération, dimensions variables | Comme nous. Des incertitudes et des sentiments, 2013, Lettres décalcolables sur mini cibles cartonnées, dimensions variables |
Je t'aime, 2013, reprographie écriture au feutre sur papier de récupération, dimensions variables | |
La vie en dessous du 48ème parallèle, 2013, reprographie pierre noire et fusain sur papier de récupération, dimensions variables |
Des dessins et des textes jalonnent la grand rue du petit village de Soulasse.
La plupart des textes sont issus de La vie en dessous du 48ème parallèle, une autobiographie romancée écrite par mon père connu sous le pseudonyme de Casimir Kovski. L'installation témoigne de la tendresse que je porte à ce récit.
Des espaces publics abandonnés et des zones extérieures chez des particuliers sont investies à travers une approche nostalgique et poétique.
Par bribes, les mots côtoient des dessins "vaguent à l'âme".
Parfois affirmés, les images et les textes s'imposent immédiatement.
Quelquefois en discrétion au détour d'une rue ou derrière une petite fenêtre, ils nous surprennent et soulignent la topographie du lieu.
Apparaissant derrière des barreaux, sur les vitres, les murs ou sur de vieilles portes en bois, ces collages répétés invitent à découvrir ce qui d'ordinaire se raconte dans la douceur dissimulée d'un tiroir.